One waits already saw itself not?

Sujet: One waits already saw itself not? Mer 17 Avr - 19:47

One waits already saw itself not?"Quand le passer retourne au présent"

La fin de journée, je voyais a la luminosité du soleil que le temps s'était plutôt bien écoulé. J'étais tombé sur les jardins, non pas que se soit l'option que j'ai pris...Non sérieux vous me voyais entrain de planter une graine dans un pot et de l'arrosé avec mon petit arrosoir tout rouge ? (Oo) Ouais non faut pas rêver. J'ai pris sport comme option, ça me bougerais le derche, comme me le dit si souvent Alyssa.
Enfin bon, malgré tout les jardins sont pas si mal pour piquer un somme.
J'ai comment dire...Bah je suis pas aller en cours. Oui je devrais être plus assidue, après tout ma mère mériterais que je me défonce complétement en classe, mais aujourd'hui je n'en avait pas envie. Je me sentais pas apte à écouté un prof bavasser pendant deux heures sur l'histoire de notre pays...Enfin de ce pays.
Allongé, les bras derrière la tête, je fixais le ciel tandis que de nombreuse images traverser mon esprits torturé d'adolescent. Je me demandais comment mon père aller, si il avait encore enfilé autant de bière que de raison, si ma mère me voyait de là ou elle était...Elle me manquait. Et j'entendais Alyssa qui pleurais parfois, bien sur, devant moi elle se montrait forte, comme à chaque fois. Et moi comme un imbécile je lui souriait et je lui piquais son morceau de pain. Soupirant, je ferma les yeux et fut transporté par un flot d'image de mon enfance.

J'étais un petit garçon tout blond, mes cheveux quelques peut hérissé au dessus de ma tête, et je riais comme un idiot, un énorme bleu orné mon coude, ma joue et ma lévre saigné un peu et pourtant je riais, un autre rire s'interposait avec le mien, plus moqueur, plus aigu aussi. Un rire de petite fille.

T'es un idiot Matt ! Fit la voix de la petite fille.

A cet âge là on mesure pas que c'est réellement de l'humour, je crois que j'en fus vexé car je tournais la talon furieux et je partie en courant, je pris la direction d'un recoin de la cours de récréation et me cacha près de buisson piquant, des pas précipités m'indiquais que la fillette m'avait suivit, je l'entendais marcher. Puis sa voix résonna.

Mais ou t'es !? Faisait la voix impatiente de la fillette blonde.

La voix se fit plus présente, en fait ce fut si près que j'ouvris les yeux quelques peut surpris...Non j'avais rêvé, j'ai cru que sa voix m'était parvenue aux oreilles...Mais non, c'était impossible. Mes parents avaient déménagés d'australie pour s'installer en france pour le travail de mon père et depuis je n'avais jamais revu la blondinette. Et quand bien même si j'ai changé de région pour vivre avec Alyssa j'étais surement trop pris dans mon rêve. Pourtant le "Mais ou t'es" m'avais paru si proche.
Une chose que je n'ai pas rêvé c'est qu'il y'a bien du bruit pas loin de moi, je me hisse sur les coudes et léve la tête pour voir une crinière de cheveux or qui bougent frénétiquement, automatiquement un sourire moqueur nait sur mes lèvres quand je vois un briquet qui est près du buisson ou je trouve...Ne me dite pas que cette fille demande a son briquet "ou es tu?" non quand même...Okay ce lycée est tout bonnement remplie de taré ! Le soucie c'est qu'elle fait trop de bruit.
Je pousse un soupir et saisie le briquet que je lance vers elle sans un mot si elle a une clope au bec ça aura le mérite de la faire cessé de gesticulé comme un ver de terre.

Quand le passé refait surface...

La journée ne s'était pas trop mal passé. Enfin si on exclue carrément le fait que j'ignore comment me comporter avec Castiel. Je me vois mal, mais alors très mal aller le voir comme si de rien n'était. Pas après ce samedi. Mais je me vois mal aussi sauter à son cou comme une gamine éperdue d'amour face à son premier petit copain. Donc de ce point de vue, la journée fut plutôt difficile. Mais pour le reste, pas de grand changement. Surtout en fin d’après midi avec histoire! Pas que cela ne m’intéressait pas mais parler des guerres et des morts et compagnie alors qu'il y a juste un soleil splendide dehors, moi bah cela me mettait le moral au plus bas. Je soupirais et dans un "shit!" un peu trop prononcé je posais ma tête sur la table. La voix du prof' est juste soporifique! Et puis après avoir mangé à la cantine, je n'ai même pas eu le temps de fumer ma clope tranquille. Je grognais sous le regard rieur de ma camarade de table puis finalement m'endormit.

La sonnerie me fit sursauter et je faillit tomber de ma chaise. Mais cela sonnait alors ma libération! Pris d'un élan de courage, je fourrais mes affaires dans mon sac et courut vers la sortie où Castiel y étais puis je lui fit un bisou sur la joue en me mettant sur la pointe des pieds et lui lança avec un clin d'oeil un "A demain!" et partit en courant non pas vers la sortie mais vers les jardins. Eh oui, mon père ignorait que je fumais et je ne voulais pas qu'il le sache. Pas parce que j'allais me faire punir. Mais lire de la déception dans son regard serait pour moi, la pire des punitions. Je sortis donc une cigarette de mon sac et le briquet... qui vola littéralement dans les parterre de fleurs. Je le regardais voler et finalement grogna. Je n'avais pas que cela à faire à courir après mon briquet! J'ai eu de la chance que cela n'était pas mon zippo sinon j'aurais hurler. Non, lui je l'ai oubliée ce matin avant de partir.

Je m'agenouillais don cet fouilla dans les fleurs. Mais après cinq minutes de tentatives, infructueuse, la clope coincé sur mon oreille je déclarais d'une voix forte:

Mais ou t'es !?

Oui, comme si cela allait le faire venir à moi où qu'il allait revenir comme un boomerang... Je haussais les yeux devant ma stupidité quand soudain je sentis quelque chose de dur atterrir sur mon crâne pour finalement retomber sur l'herbe. Je regardais , hébétée, mon briquet. Alors là... je pouvais pas faire mieux! Je regardais dans la direction où le projectile venait puis y vit un garçon au cheveux tout aussi blond que moi. Je lui lançais un sourire et lui déclara:

-Merci! Et désolée si je t'ai dérangée dans... ton sommeil.

Je souriais et finalement alluma ma cigarette et m'assis en tailleur. Habillée d'un short en jeans en bretelles, des doc's marteen's noir avec un haut blanc qui tombait sur une épaule, je regardais le ciel et finalement redemanda au garçon.

-Au fait, t'es nouveau? Je t'ai jamais vu avant.

Je le regardais curieuse que j'étais. C'était rare les nouveaux à Sweet Amoris et voilà qu'elle débarquait et qu'un autre aussi. Je le fixais attendant une réponse.
(c) fiche par ocean lounge

One waits already saw itself not?"Quand le passer retourne au présent"

Le cliquetis du briquet et l’odeur de la clope, me fit un peu relevé le nez. Je fermais les yeux, me disant que peut être pour une fois j’aurais pu tenir le coup sans tiré une clope de toute la journée et là sous mon nez la fumée roucoulait avec l’air ambiant et ça me mettais un peu la rage, je fis glissé mon sac d’un geste vif vers moi et en sortie un paquet bleu pour en retiré une clope d’un blanc aussi somptueux que les nuages, je pris aussi mon briquet noir ou une tête de mort enflammé me regardait avec envie. J’allumais la clope et savoura la latte.
Oh si j’avais su que lui envoyé son briquet ça mettrais le bouton papotage en marche bah je l’aurais laissé cherché comme un ver de terre. Bon sang il était bien bavard ces lycées…Alyssa aurait pu me prévenir merde. Je me rappuyais sur mon tronc et fixa le ciel tandis que la blondinette remarquais que j’étais nouveau. Wouah des mini Sherlok.

Ouep je suis nouveaux…Et t’es pas la première qui me le rappelle ! Répondis je en portant la clope a mes lèvres.Je levais mes yeux bleu sur la jeune femme et lui adressa un sourire goguenard.
T’es pas en cours ? Demandais je en me rendant compte que je faisais mon Sherlok Holmes apparemment. Je fis une moue presque rageuse et je fis tomber la cendre près de moi avant de reprendre sur un ton plus morne. Oh et puis je m’en balance, vu le temps qu’il fait les cours on s’en contre-foue !

Elle était jolie, et je sais pas pourquoi mais la voix enfantine de mon rêve continuait de résonné dans mon crane, ça me mettait à cran, aller savoir pourquoi mon rêve s’est mélangée à la réalité. Si je pouvais je me damnerais pour retourné en enfance, revoir mes parents ensemble, m’amusé à faire rire ma camarade de jeu…Ouais…Le bon temps, en ce temps là je riais et je me bagarrais autant que je changeais de chaussette. Maintenant je ne rie pas, je ricane, je me moque, je suis sournois, froid, presque cruel et tout le temps de mauvais poil.

J’m’apelle Matthias pour info Ajoutais je en reposant a ma mère qui avait mis un point d’honneur sur la politesse, du moins elle avait dit, mauvaise humeur ou non quand on te parle tu as la gentillesse de donné ton prénom. Alors voilà M’man c’est fait, t’es contente ? J’eu un fin rictus sur les lèvres, tandis que la clope continuais de brûlée doucement entre mes doigts.

Quand le passé refait surface...

J'étais toujours assise en tailleur dans le chemin, un bosquet de fleur nous séparant. A peine ais je allumée ma cigarette qu'il faisait de même en se redressant contre l'arbre où il était allongé il y a à peine trente seconde. Je me tournais vers lui en tirant une latte sur la cigarette et l'observant. Il était plutôt musclé, les cheveux blond, presque aussi clair que les miens et des yeux assez clair. Il prit alors la parole affirmant ce que j'avais constaté et que je n'étais pas la seule à le dire. Je ricanais et lui déclara alors du tac au tac:

-Entre temps, c'est rare les nouveaux ici.

Et elle pouvait le confirmer! Elle n'était pas là depuis bien longtemps et voilà que tout le monde se mettait à parler d'elle. Ou du moins le fait que je sois ici et les raisons entre autre. Mais je souriais en coin. Cette fois ci au souvenir de ma journée au près de Castiel. Puis il me lança sur un ton curieux si j'avais cours pour finalement déblatérer sur le fait qu'il s'en fichait vu le temps qu'il faisait. Je rigolais et finalement affirma d'une voix malicieuse:

-Oh tu sais, les cours, ça va, ça vient! Comme tu l'as dit il fait beau. Mais là je n'ai pas cours.

Puis un silence s'installa. Je le regardais du coin de l'oeil. Il semblait plongé dans ses pensées et ne voulant pas le déranger plus que mesure, je tirais à nouveau une taffe, tapotant sur la cigarette pour faire tomber les cendres. Puis il prit la parole une dernière fois me révélant son nom. Matthias... Je souriais en coin. Matthias, je me souviendrais toujours de ce petit garçon bougon qui frappait n'importe qui osait me défier ou se moquer de moi. Et même si parfois on se disputait c'était un peu comme mon grand frère. Il me faisait rire comme moi je le faisait rire. On était tout le temps fourrés ensemble. Les terreurs blondes. Je me souviens surtout de ses cheveux blond. Le reste... Ce n'était que des souvenirs flou. Je souris encore et lui déclara, le regardant dans les yeux, mon regard rieur.

-Et moi c'est Abbygail. Mais tout le monde m’appelle Abby.'
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One waits already saw itself not?"Quand le passer retourne au présent"

Apparemment la jeune femme avait l’air aussi peu concerné par les cours que moi, c’était plutôt drôle, oh bien sur je n’avais aucune idée de l’heure qu’il était tout aussi bien, même moi je n’avais plus cours. Bah a quoi bon se prendre la tête…Façon j’étais seul ce soir vu qu’Alyssa devait dormir chez son petit ami. Encore une chose que j’aime chez elle, c’est qu’elle ne m’impose pas son mec à la maison. Bon pas sur que ça plaise au dit, petit copain, mais qu’importe. C’est ma frangine et quand je rentre j’ai pas spécialement envie de les voir entrain de s’exploré les amygdales.

Quelque chose c’est cette blonde me rendait presque nostalgique, oh bien sur, je me devais de gardé mon air renfrogné, taquin et sournois et ne rien laisser paraitre, mais je mettais ce petit…enfin ce moment de faiblesse suite à mon rêve qui était plus un flash back qu’un simple rêve. Pourtant quand elle me donna son prénom, je failli m’étranglé avec ma clope…Rectification, je suis entrain de m’étranglé avec ma clope…
Alors que je tousse en fermant les yeux, que la clope tombe au sol dans un ralentit semblable a faux film d’action vaseux, je revoie la fillette flanquée de deux tresses blondes, ses grands yeux bleu rieurs, elle est là devant moi, toute petite…

Moi je m’appelle Abbygael…Mais on m’appelle Abby et toi ? Demanda la petite fille en regardant le petit garçon blond, au sol, crotté de terre et de poussière, un mince filet de sang coule sur sa lèvre et son genou est écorché.

Alors que j’ouvre les paupières, je sens sur moi le regard de la jeune femme, ma soudaine perte de la réalité a du se voir, alors, j’appuie sur la clope contre le sol, l’éteignant comme le souvenir que je venais de prendre en pleine gueule.

C’est un beau prénom…J’avais une amie quand j’étais gamin qui s’appelé comme ça ! Répondis-je en ayant un sourire au coin des lèvres. Enfin…Quand j’habitais en Australie…J’ai déménagé quand j’avais 10 piges pour venir en France, et là…nouveau déménagement et me voilà dans le seul bahut de France ou leurs service technique a eu une promo sur la peinture rose ! Raillais-je en tentant de ne pas me souvenir de mon enfance.

J’avais très mal vécu mon départ, même si je n’était qu’un gamin…Pour moi j’avais abandonnée une petite sœur, et j’étais persuadé que de toute façon jamais elle ne me reconnaitrais et qu’elle m’avait surement oublié depuis tout ce temps…ça fait quoi…10 longues année au moins…Apparemment mon esprit n’a rien oubliée lui…Puis elle est en Australie…A quoi bon se prendre la tête

Spoiler:

Quand le passé refait surface...

A l'entente de mon prénom, il recracha sa fumée en s'étouffant à moitié avec. Je le regardais d'abord étonnée puis inquiète. Il reprit sa respiration normal et je le regardais un tant soit peu moqueuse. Eh bien! Si mon prénom fait de tels effet sur les gens, je devrais le dire plus souvent! Je souriais et finalement lui demanda:

-Euh ça va?

Je le regardais cette fois ci vraiment inquiète. Il semblait plongée dans ses pensées et il semblait avoir sentit le poids de mon regard car il me fixa de ses grand yeux avec cette couleur si particulière. Et cette fois ci, je devenais blême. Le seul qui avait de tel yeux étaient... Et là il prit la parole. parole qui eurent l'effet d'une bombe sur moi.
C’est un beau prénom…J’avais une amie quand j’étais gamin qui s’appelé comme ça ! Enfin…Quand j’habitais en Australie…J’ai déménagé quand j’avais 10 piges pour venir en France, et là…nouveau déménagement et me voilà dans le seul bahut de France ou leurs service technique a eu une promo sur la peinture rose !

J'écrasais mon mégot et me planta en face de lui et me mit à genoux pour être à hauteur de visage. Je le fixais de mes yeux bleus et finalement lui demanda:

-Matthias Drayer?

Et sans qu'il ne me donne pour d'explications je me jetais dans ses bras, un sourire aux lèvres et je ne put empêcher quelques larmes de couler je déclarais en le serrant contre moi.

-Putain tu m'as manqué! Merde! Je suis Abbygail Reever! J'ai vécu aussi en Australie!

Puis sans réponse, cette fois ci furieuse qu'il soit parti ainsi, toute ma colère montait en moi et le fixa de mes yeux rageur, fâché mais pas totalement trop heureuse de le retrouver. Je le frappais du poing à l'épaule tout en déblatérant à nouveau:

-T'étais où? Pourquoi t'es parti comme ça hein?

Puis je souriais séchant mes larmes. Et déclarant, en rigolant.

-Et voilà t'arrives à me faire pleurer! Et moi cela doit faire deux ans que je suis en France. Et ouais t'as vu? Le lycée est rose! Remarque, ça colle à la guimauve qu'on a comme directrice!

Je souriais heureuse de le retrouver. Je le fixais attendant qu'il réponde. Parce que c'est vrai que cela doit faire au moins bien dix ans qu'on ne s'est pas vu.
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One Waits already saw itself not ?"Quand le passé refait surface"

Mon regard se troublai comme si j’étais atteint d’une
maladie que seul mon imaginaire pouvait créer, une torture sans nom, mes yeux
ne cessé de voir autre chose que la jeune femme blonde aux sourires emplie de
sournoiserie, non, mes yeux continuait a voir le fantôme d’une petite fille
dont les cheveux couleurs soleils étaient tressé à la perfection, elle et son
pendentif en forme de clé de sol autour du cou qu’elle s’amusé a tortillée
entre ses petits doigts. Alors que tout semblai vacillé autour de moi, la voix
de la jeune femme me parla et prononça autant mon prénom que mon nom de
famille, ouvrant la bouche comme un poisson hors de l’eau, incapable de
produire le moindre son, je sentis le corps de la jeune femme qui s’élançais
dans mes bras.

Lors de l’étreinte, elle continua de parler, se présentant
une nouvelle fois ajoutant ce nom de famille encré dans ma mémoire d’enfant
depuis si longtemps, jurant, versant quelques larmes, alors que mon passé
venait de ressurgir comme une étoile filante dans le ciel, sans crier gare,
sans prendre en compte les conséquences que cela pourrait avoir. Croisant une
fois de plus ses yeux bleu foncé qui trahisé un savant mélange de bonheur et de
colère.

La colère je pouvais la comprendre, j’étais partie sans crier
gare, même moi je m’en voulais, même si dans le fond j’y étais foutrement pour
rien, je n’avais pas choisi de partir de là bas…Non…J’avais ragé, crié et hurlé
comme un démon à cet âge, quitté l’endroit ou j’étais née ça m’avait brisé…La
quittée ça m’avait brisé. Pour moi la mort de ma mère fut la 2^e
atrocité de ma vie sans saveur.

J’ai pas eu le choix…P’pa touché une
augmentation conséquente s’il accepté d’être mutée en France. Répondis
je un peu sur le cul fallait l’admettre mais je me reprenais plutôt vite. T’a
grossie depuis le temps ! Fis-je avec un sourire taquin aux
lèvres.

Alors qu’elle séché doucement ses larmes en reprenant ce
sourire qui était encore a mes yeux bleu clair un sourire d’enfant, elle me
parla un peu d’elle, alors cela faisait seulement 2 ans qu’elle était en France.

Bah écoute moi ça fait presque 10 ans que
je suis en France, mais je suis arrivée içi y’a peut, je vis chez Alyssa ma sœur.
Fis je me relevant quelque peut pour mieux fixé la jeune femme. Tu
te souviens d’Aly quand même ? Demandais-je avec un nouveau
sourire narquois.

Alyssa, ma rouquine de sœur, même a cette époque elle
faisait autant ragé la blondinette que moi, bagarreuse et belle à la fois, ma sœur
aîné nous en avez fait voir autant que nous on embêté les plus jeunes.

J’dois admettre que y’a pas que la dirlo
qui est guimauve…Rien que ce matin y’a 3 types qui sont venue me cherché des
noises…De belles grandes gueules qui auront de belle déco bleuté demain matin
et qui sont allé chouiné dans les bras des filles ! Raillais-je
en riant un peu. Tendant la main, je pris une mèche de cheveu blond de la jeune
femme, avec un air presque nostalgique avant de reprendre.
Mais un mec qui s’appelle Castiel m’a fait comprendre qu’apparemment je n’étais
pas le seul bagarreur du campus ! Ça rassure ! Fis-je avec un
sourire sournois.

Lachant la méche avec douceur, je repris d’un geste
frénétique mon paquet de clope pour m’en grillé une deuxième vue que la 1^er
avait eu une durée de vie assez courte, souriant a la jeune femme, je repris
après une bouffée.

Et toi ? Raconte-moi…Pourquoi tu as
quitté l’australie ? Oh putain, j’suis ravie que tu sois là bordel !
J’vais me sentir moins seul ! M’exclamais je en soupirant presque
d’aise.

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