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 Oh I don't really care, love it when you pull my hair~

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MessageSujet: Oh I don't really care, love it when you pull my hair~    Oh I don't really care, love it when you pull my hair~  EmptyMar 25 Mar - 22:33


Mandford Stan
       
Age: 18 ans. /i>
Date de naissance: 27 mars
Lieu de naissance: Bristol                    
Origine: Anglais/polonais
Sexe: 3 nuits par semaine.
Groupe: élève.
Signe particulier: Tout est dit dans la fifiche.  
Fukuwa
I know you wanna fuck meh'

Une canette de bière à peine entamée. Un joint sur le bord du cendrier, et des souvenirs, des milliers de souvenirs dans une boite en carton.

Tu prends une gorgée de ta bière, pourtant, tu sais que la bière au réveil  est la chose la plus horrible qui soit. Tu grimaces en sentant le goût infect se répandre dans ta gorge. Tu la reposes sans trace de finesse sur la petite table face à toi. Tu attrapes le carton à coté de toi, pioches dedans et en sors un CD numéroté. Le numéro « 1 » il te semble. Ta vue est floue, et le chiffre est assez petit. Entre deux bouffées de fumée tu insère le CD dans le lecteur DVD. Tu es seul, dans ta chambre, alors tu n’as pas peur que l’on vienne te déranger. Tu as fermé la porte à clé de toute façon, tu ne crains rien, tu vas bientôt te casser. Pourquoi ? Parce que c’est comme ça, car tu l’as décidé. Tu entends la télé bourdonner. Puis, une image s’affiche. La qualité est vraiment mauvaise. L’image est floue, tremblante, on pourrait comprendre que la scène a été filmée manuellement, maladroitement par toi. C’était la première fois que tu te filmais, c’était la première fois que tu en avais eu l’idée. C’était drôle, mais ça te faisait toujours foutrement bien. De parler à la camera, d’oser croire que  quelqu’un t’entends à l’autre bout de l’appareil photo.  Alors que non, alors que tu ne les montrais à personne. Car tu n’en avais pas les couilles. Car ça te foutait la trouille de penser que quelqu’un pourrait découvrir ton petit jardin secret. C’était devenu une sorte d’habitude. Un peu comme un journal intime, ou non, ça, c’est un truc de gonzesses, un truc de tapettes, et tu n’en es pas une.


Tu lèves ton regard vers la télé, et tu découvres ta face. De combien de temps date cette vidéo ? Comment as-tu commencé à faire ces vidéos là ? Ces films par milliers ? Tu n’en sais rien, et tu as peur de regarder sur la pochette du CD, tu as peur de le savoir. Tu souffles un coup la fumée.  Tu souris en regardant ton visage innocent. Tu as l’air légèrement plus jeune, en vérité, tu as toujours eu l’air affreusement jeune, et ça te faisait toujours chier que l’on te demande ta carte d’identité à chaque fois que tu mentais sur ton âge pour acheter de l’alcool. Tes cheveux étaient déjà noirs, tu as oublié quand est ce que tu as commencé à les teindre. Allant jusqu’à oublier qu’ils sont châtains au naturel, châtains, comme ceux de ton frère. Les cheveux noirs te vont tellement mieux, ils mettent en valeur la pâleur de ta peau cadavérique marquée par un tatouage en forme de croix inversée derrière ton oreille. Tu ignores si tu l’avais déjà à ce moment là. Mais une chose est claire, tu avais déjà tes snake bites et six piercings à l’oreille gauche. Tu semblais étrangement détendu. Tes cheveux étaient ébouriffés, comme à ton habitude. Tu ne les coiffes jamais après tout. En ce moment là, tu n’avais pas encore ton side cut dont tu es si fier aujourd’hui. On pouvait entendre les notes d’une certaine chanson en fond sonore. Tu étais habillé en noir et en gris. Tes deux couleurs préférées. Tes yeux verts semblent fatigués. Tu es peut être saoul, tu n’en sais rien, tu t’en fous. Tes yeux verts fixent la caméra. Ils te rappellent étrangement la couleur de l’absinthe et tu rigoles intérieurement à cette pensée. Tu n’as jamais aimé le vert, tu n’as jamais aimé tes yeux. Mais tu sais que les autres le font, alors tu t’en fous, tant qu’on te complimente, tu t’en fous du reste, non ? C’est comme ça que ça fonctionne chez toi. Tu aimes qu’on te dise que tu es beau, tu aimes qu’on te désire, qu’on te veuille, ça te change tellement. Tu souris encore une fois, intérieurement. Tu  appuies sur pause, a l’aide de la télécommande et tu te regardes. C’est étrange, ça t’as toujours fait étrange de te regarder, car ton reflet dans le miroir, car ton image sur la télé est si différente. Et tu te dis « est ce que je ressemble réellement à ça ? » Tu n’arrives pas à mettre une image à toi, tu n’arrives pas à mettre un prénom sur cette image que tu vois non plus, tu n’arrives pas à te définir, à arriver à croire que cette image est tienne.  Tu es surpris, surpris car tu te demandes depuis quand as-tu adopté ce style vestimentaire là. Aussi loin que tu t’en rappelles, tu t’es toujours habillé ainsi et ça n’a pas changé. Peut être que tu n’as pas tellement changé depuis ta première vidéo. Peut être que tu es toujours le même. Qui sait ?


The way u work it babe make me wanna misbehave~ ♫



Music~~

Tu écrases le mégot au fond du cendrier, et tu appuies sur le bouton « play ». Ton regard est fou, perdu. Tu sembles penser à quelque chose, tu n’es pas tendu, c’est assez étrange. Tu te passes une main dans tes cheveux. Puis ta voix rauque brise le silence illusoire. Tu t’allumes une cigarette, dans l’écran. Et tu en prends une bouffée. Tu remarques que tu n’es pas seul. On voit un corps affalé derrière toi sur le lit, un lit qui n’est pas tien. Une chambre que tu ne connais pas, un homme que tu ne reconnais pas, mais tu t’en fous. ;

« Puisque c’est la première vidéo que je fais, je ferais mieux de me présenter, mais bordel, pourquoi faire ? Y’a que moi qui verrai cette merde alors pourquoi est ce que je le fais ? Oh, je n’en sais trop rien. Peut être parce que j’ai besoin de me présenter à moi-même et à rire un bon coup de ma connerie quand je reverrais cette vidéo. »


Le gars derrière se réveille. On ne le voit pas assez, la vue est centrée sur toi. Tu craches la fumée. Lui  hausse un sourcil, encore endormis. Il ramène les draps sur son corps dénudé. Avant de te demander, simplement ;

« Bordel, t’es qui ? »


Tu sembles réfléchir quelques instants, sans le faire. Tu ne réfléchis pas trop toi. Tu n’aimes pas te casser les couilles pour un rien. Tu préfères vivre le jour au jour, comme ça. Sortir sans prévenir, vivre sans se soucier des autres, du lendemain. Vivre ta vie comme bon te sembles et emmerder les autres.  Tu es ce genre de garçon qui s’en branle des autres, pas le temps pour se soucier de leurs affaires. Tu réponds finalement, et ta réponse te fais rire intérieurement ;

« Hmm…Qui je suis ? hah làlà. Je n’en sais rien. Je suis peut être la putain bien trop chère pour qui tu économises tout un mois, ou pire, une année. Celle que tu désires en secret. Je suis l’héroïne que tu t’injectes dans le sang et dont tu n’arrives à te débarrasser. Celle qui court dans tes veines, dans ton sang. Je suis…Je suis moi, juste moi. Moi, et moi est plusieurs.

-T’es fou ?

-Humm..Qui sait ? »


Tu te dis que tu étais bien high cette soirée là. Tu appuies sur pause et retire le CD. Tu en pioches un autre. Celui là doit être le « 69 »ème. Tu rigoles en lisant le nombre, finis ta bière et insère le CD. Tu entends une musique des sex pistols en fond. Ce groupe est bandant, penses- tu. Après tout, pour toi, BVD et Marylin Manson, ça n’a jamais été de la vraie musique et ça ne le seras jamais. C’était juste de la bullshit pour emo. C’est ce que tu te dis toujours. De toute façon, tu as toujours été ainsi, n’acceptant jamais les goûts et les avis des autres s’ils sont contre toi.

Every sinner has a past ~

Tu insères le CD dans le lecteur. Un bourdonnement, un son, un visage. Tu te regardes, et tu te dis que bordel, tu as l’air d’un con, mais ce n’était pas bien grave, car tu sais que tu en es un, car tu sais que ça ne changera rien. Tu sens ta voix se troubler, tu regardes tes yeux s’humidifier, et puis, rien.

« Je me rappelle encore, être rentré de l’école, sans Mike cette fois, lui devait rentrer plus tard, il avait cour. Il faisait chaud, c’était une journée foutrement belle vous savez, une de ces chaleureuses journées d’été. Celles qui vous donnent la pêche. Le temps était couvert, et j’adorais la sensation de brûlure contre ma peau. C’était une belle journée, c’était une journée parfaite pour mourir. Mais pourquoi, pourquoi moi ? J’aurai voulu savoir. Pourquoi pas Mike, ou, je sais pas, notre père ? Je me rappelle être entré dans la maison.  J’avais retrouvé  « maman » affalée dans la salle de bain. J’ai essayé de la réveiller. Maman ne dormait pas. »

Ta voix se brise, mais tu continues quand même.  


« A coté de maman, une boite de médicaments vide. J’avais douze ans, j’étais capable de comprendre la situation. Mais au lieu de tout ça, je me suis retourné, j’ai ouvert la télé, et j’ai regardé des émissions sans grand intérêt. J’ai attendu que Mike et père soient de retour, puis, je me suis endormi. Je ne me rappelle plus de grande chose après. Juste les sirènes des ambulances, les pleurs de Mike, il a toujours été bon à ça, pleurer. Je me rappelle aussi, avoir lu la colère dans le regard de notre père. Tu rigoles, il n’était même pas triste. Mais tout le monde le savait, tout le monde savait que maman avait un amant. Tout le monde savait qu’ils ne s’aimaient pas. Préférait-elle la mort à lui ? On n’en sait rien, on ne le saura jamais. Je n’avais pas pleuré ce jour là. Je n’ai jamais pleuré devant eux de toute façon. Oui, car Stan, c’est le putain de mec dur là, t’sais, celui qui chiale pas. Celui qui fume un bon coup, et qui se dit que oui, bordel, tout va bien, celui qui emmerde le monde, mais c’est faux, putain que c’est faux. Je ne sais plus si c’est ma mère, ou une part de moi qui a mourut ce jour là. Tout ce que je sais c’est que c’était une belle journée, c’était une parfaite journée pour mourir. Je crois que moi aussi, je voudrais mourir dans une journée comme ça. »



   
Derrière l'écran o/

       
Prénom/Pseudo Moi c'Stan c:
Age: 69 ans ? *out*
Comment as tu trouvé le forum? ärtenariat./i>                    
Et comment le trouves tu? Kewl sinon je me serais pas inscrit remarque :v
Un petit code? Validé by Laxy
Un double compte? Ecrire ici
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MessageSujet: Re: Oh I don't really care, love it when you pull my hair~    Oh I don't really care, love it when you pull my hair~  EmptySam 29 Mar - 14:26

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Oh I don't really care, love it when you pull my hair~

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